UN LAPSUS, PREUVE D’INNOCENCE
2 septembre 202415 ANS APRES, OU COMMENT EN FINIR ?
15 septembre 2024CHERCHEURS D’OR
Je lis avec intérêt et quelque passion, les œuvres de Jean Zay, dont je rappelle qu’il fut ministre (radical socialiste) de l’éducation nationale, puis interné et enfin assassiné par la milice française en 1944.
Et j’y découvre qu’il fut à l’origine de l’ENA, du CNRS, du statut de chercheur.
Et il me vient une idée que, si les poules avaient des dents, et les syndicats de la réflexion, il faudrait peut-être promouvoir.
Un bon praticien de la psychiatrie n’est jamais sûr de rien. Donc il est amené à réfléchir sur ses pratiques en permanence. Ce n’est là seulement que le luxe ou la gloire des hospitaliers ou des professeurs…
Par ailleurs, il existe un statut d’enseignant-chercheur.
Alors pourquoi pas un statut de praticien-chercheur.
« Certains (professeurs qui font des recherches dans leur service) estiment même indispensable à la progression de leurs recherches cette clarification, cette décantation qu’exige la nécessité de les (les recherches) rendre constamment accessibles à leurs étudiants (et j’ajoute à leurs pairs, si ce n’est aux institutions de contrôle) ».
Si tout praticien devient ou recèle un chercheur, que doit-il donc faire pour ses recherches ? Les faire connaitre pour les mieux discuter et/ou les étayer ?
Allons, Messieurs et Dames Responsables, à vos méditations !
A moins que je n’enfonce des portes ouvertes un jour, mais que je sens plutôt fermées en ce moment.